Bernard T....... tel mobile:
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Copenhague le: XX/XX/02
Bonjour ,
Tu sais, j'ai encore de bonnes nouvelles à te commnuniquer................................j'espère
qu'elles te plairont !
HONGRIE :
Les divers CCDH d'Europe
ont travaillé très dur à propos des abus
psychiatriques, et je peux t'annoncer une autre victoire de
CCDH. Le Comité d'Ethique de l'Ordre des médecins
de Hongrie a siégé et publié une décision
au sujet d'un psychiatre qui avait empoisonné sa victime
avec des drogues psychiatriques. Bien sûr, de telles
choses se produisent quotidiennement, mais il est inhabituel
que quelqu'un porte de telles affaires devant le 'Comité d'Ethique'
de l'Association des Médecins. Ce n'était pas
jusqu'à maintenant dans les usages courants.
Un tel comité n'est évidemment
créé que pour protéger les médecins
afin qu'ils ne soient pas traduits en justice. Mais
le CCDH de Hongrie l'a fait et,
malgré le plaidoyer d'innocence du psychiatre, a réussi à convaincre
le Comité d'Ethique, que ce psychiatre avait réellement
empoisonné sa victime.
Le comité condamna
le psychiatre et suivit l'offensive de CCDH en rendant le psychiatre
responsable de ses actions. Comme un tel comité n'a
pas réellement beaucoup de pouvoir pour empêcher
un tel criminel de poursuivre ses actions, le CCDH a également
porté l'affaire à la connaissance de la police.
Le problème est que la police avait été abusée
tout autant que toutes les autres agences gouvernementales
par de fausses informations des psychiatres et elle a donc
demandé l'opinion supplémentaire d'un expert.
Elle a obtenu, cette semaine, l'opinion demandée à l'expert,
et il fut, là aussi, déclaré que le psychiatre
avait commis une faute. Nous
verrons donc bientôt un autre psychiatre goûter à la
saveur de la véritable justice.
Toujours en Hongrie, le
directeur d'un hôpital et l'infirmière en chef "ont
démissionné" à la suite d'enquêtes.
Le chef psychiatre viole la loi et est placé sous enquête.
Une enquête sur les abus vis-à-vis d'une femme âgée
(victime des psychiatres) progresse bien. Cette personne avait été placée
dans une institution de la ville de Pecs, il y a plusieurs
années, et elle avait été placée
sous la tutelle de son fils qui ne l'aimait pas. Entre autres
choses, il avait vendu son appartement après qu'elle
ait été placée sous tutelle. Cette vieille
dame était traitée de façon réellement
inhumaine dans l'hôpital psychiatrique; je t'épargne
les détails sanglants.
Son époux, un homme âgé,
avait porté plainte contre les personnes responsables
du service, parce qu'il était agressé par le
psychiatre lorsqu'il était à l'hôpital.
Il s'ensuivit que le vieil homme fut expulsé de l'hôpital
car, ainsi que le directeur de l'hôpital l'a écrit
dans une lettre, il avait 'insulté de nombreuses personnes
de l'hôpital'. Il ne fut pas autorisé à voir
la femme qu'il aimait. Il s'adressa à l'ombudsman à ce
sujet et celui-ci ordonna à l'hôpital de lui permettre
de rendre visite à son épouse.
Le CCDH fut contacté,
l'affaire réexaminée et les outpoints légaux
furent écrits avec les lois pertinentes et adressés à la
fondation qui avait aidé ce couple âgé.
Cette fondation a utilisé l'analyse
de CCDH pour ses propres plaintes à diverses autorités,
en joignant directement l'étude du CCDH, à l'en-tête
du CCDH, pour ses propres soumissions. Simultanément,
le CCDH a porté plainte contre plusieurs institutions.
Peu après que les
plaintes furent déposées, le directeur de l'hôpital
a démissionné et quitté son poste. L'une
des plaintes du CCDH fut adressée à l'Ordre des
Médecins qui répondit ne pas pouvoir lancer une
enquête contre le responsable du service psychiatrique car
il n'était PAS inscrit à l'ordre des Médecins
!
L'Officier des poursuites du CCDH a appelé le Ministère de
la Santé où on lui dit que
1) la plainte du CCDH à ce
sujet avait été transmise au Service National de Santé du
Peuple pour enquête
2) que ce service est l'autorité compétente pour des affaires
concernant l'utilisation légale du titre de médecin.
L'Officier des poursuites
a adressé une soumission à ce service en demandant également
une enquête au sujet du titre de médecin du psychiatre.
Une autre plainte a été déposée
auprès de la police par le vieil homme et
elle a été transmise à un autre commissariat
parce que le policier auquel fut remise la plainte pour enquête était
un bon ami du 'docteur'. D'autre part, les deux fils du psychiatre
travaillaient avec cette même antenne de la police,
ce qui était une raison plus que suffisante pour qu'elle
soit transmise à un autre commissariat. Le résultat
de toutes ces actions est que l'infirmière en chef
de l'hôpital a également récemment "démissionné".
L'affaire est à présent
dans les mains d'un terminal de la TV, intéressé par ce
sujet.
L'équipe de télévision a déjà appelé l'hôpital
pour y filmer.
Le CCDH hongrois a déposé une plainte criminelle contre le
psychiatre K pour utilisation illégale du titre de médecin.
SUEDE
Le CCDH suédois
a organisé, avec succès, une manifestation, à l'ouverture
du 11ème Congrès européen de l'Association
des psychiatres européens, début mai. Il a
obtenu beaucoup de bonnes réponses, même de
la part de psychiatres, qui se sont prononcés contre
les traitements psychiatriques ; deux sont même devenus
membres du CCDH. Le public était en majorité composé de
psychiatres, et le CCDH a obtenu de bonnes réactions
de la part de certains.
La manifestation du CCDH a eu lieu en même temps que l'ouverture du
Congrès, au moment où la plupart des psychiatres s'inscrivent
pour le congrès. Le thème en était: "Psychiatrie,
Science et Humanité européennes dans la Santé" et
il était organisé en collaboration avec l'Association psychiatrique
suédoise. Les organisateurs attendaient environ 5000 psychiatres de
toute l'Europe, pendant 5 jours.
Dans la lettre de bienvenue au congrès, les organisateurs avaient écrit: "A
tous les psychiatres européens. L'échange de connaissances
et d'expérience parmi plus de 50.000 psychiatres travaillant en Europe
dans l'éventail du système de soins fournit un grand potentiel
de croissance et de développement des fières traditions de
la psychiatrie européenne..."
Le CCDH a utilisé cette
partie des fières traditions dans sa brochure. La
brochure a été faite en version double, en
anglais d'un côté et en suédois de l'autre. Le
titre en était : La psychiatrie ne peut pas guérir
- elle ne peut que droguer! le CCDH donnait dans son document des informations quant à ces "fières
traditions" dans un style percutant comme
- l'utilisation de la stérilisation et de la castration de centaines
de milliers de personnes de façon à "exclure les personnes
inférieures de la reproduction"
- l'introduction de la lobotomie qui a détruit le cerveau de centaines
de milliers de personnes au niveau mondial
- le développement des électrochocs
- la décision
des psychiatres nazis de tuer 275.000 patients mentalement atteints, qui
s'acheva par l'extermination de 6 millions de Juifs et 5 millions d'autres "personnes
inférieures"
- l'introduction des drogues psycho-pharmacologues
- comment le psychiatre serbe Jovan Raskovic a inspiré le génocide
racial et religieux en Bosnie, avec le psychiatre Radovan Karadzic et Slobodan
Milosevic, ancien Premier ministre et patient de Karadzic
- la "nouvelle" génétique psychiatrique
Voici quelques-unes des réponses obtenues :
*Un
participant du Royaume-Uni "Je
prends une brochure, merci. Je soutiens vos messages. Je m'occupe
ici des distractions pour les délégués.
Je veux souligner que je ne suis pas psychiatre, mais ma mène
est dans l'entrée - elle est psychiatre !"
*Un
psychothérapeute slovène "Merci,
qu'est-ce que c'est ? Oui, je suis contre les électrochocs et
je soutiens ce que vous dites !" (Cette
personne a volontiers donné son nom et son adresse pour recevoir
d'autres informations).
*Un psychiatre ukrainien
s'est approché et a dit qu'il voulait devenir membre du CCDH.
Le psychiatre "Merci.
Excellent, je soutiens ce que vous faites !!!"
*Un
psychiatre allemand "Merci.
Les fières traditions, si nous sommes d'accord... ? Et bien. NON,
définitivement NON !!"
*Un psychiatre belge "Merci
! Continuez le combat !!!"
*Les psychiatres des
groupes biomédicaux, en particulier, étaient plus ouverts à des
solutions sans drogues et très désireux de discuter avec
les représentants du CCDH.
Les médias : malgré les
efforts des psychiatres de fourvoyer tout le monde, les médias
suédois n'ont pas tout gobé. La radio nationale qui suivait le congrès
psychiatrique a publié les résultats d'une
nouvelle recherche.
Les chercheurs ont découvert
que les personnes déprimées qui recevaient des
pilules de sucre se sentaient soulagées de la dépression,
dans la même mesure que celles qui recevaient du Prozac
ou d'autres soi-disant anti-dépresseurs. Elles étaient
ensuite capables d'enregistrer ce soulagement avec des images
de leur cerveau. Lorsqu'on leur a dit qu'elles n'avaient reçu
que des pilules de sucre, elles se sont à nouveau senties
mal, et ceci pouvait aussi être enregistré dans
leurs cerveaux. Et voilà la fin de la question des psychiatres
de savoir si la poule est venue avant ou après l'oeuf